Théâtre

Les pièces sont difficiles à lire, dit-on. Oui et non.
Oui parce qu'elles demandent davantage au lecteur, amené à déduire, à deviner, à imaginer.
Non parce qu'elles le laissent libre, faisant de lui un metteur en scène en puissance.
Pour ma part, j'aime l'écriture minimaliste du théâtre, qui va à l'essentiel : le personnage, ses actes, ses paroles. Le reste m'appartient à moi, lecteur.

Antigone (Jean Anouilh)

Lou vin dei padre (Francis Gag)

Intermezzo (Jean Giraudoux)

La cantatrice chauve (Eugène Ionesco)

Dom Juan (Molière)

Hygiène de l'assassin (Amélie Nothomb)

Je sais, c'est un roman. Mais je préfère penser que ce dialogue est une pièce de théâtre qui s'ignore,

Marius, Fanny, César (Marcel Pagnol)

Huis clos (Jean-Paul Sartre)

Le diable et le bon dieu (Jean-Paul Sartre)

La nuit de Valognes (Eric-Emmanuel Schmitt)

Petits crimes conjugaux (Eric-Emmanuel Schmitt)

Le visiteur (Eric-Emmanuel Schmitt)

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