L'envie de tel ou tel roman me vient après lecture des premières lignes. Un procédé fréquent, à cause duquel j'ai peut-être raté de belles découvertes, mais j'aime le choix d'instinct.
M. Vertigo (Paul Auster)
Marche ou crève (Richard Bachmann)
Le chef-d'oeuvre inconnu (Honoré de Balzac)
L'écho de la note bleue (Christine Baron)
Entre les murs (François Begaudeau)
La vieille dame indigne (Bertolt Brecht)
Le baron perché (Italo Calvino)
Le chevalier inexistant (Italo Calvino)
Chronique d'une mort annoncée (Gabriel Garcia-Marquez)
L'archange perdu (Isabelle Jarry)
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire (Jonas Jonasson)
Bel-Ami (Guy de Maupassant)
Boule de suif (Guy de Maupassant)
Contes de la bécasse (Guy de Maupassant)
Hygiène de l'assassin (Amélie Nothomb)
La chanson de Maria (Louis Nucéra)
La joie (Charles Pépin)
Nouvelles (Luigi Pirandello)
Des souris et des hommes (John Steinbeck )
Le parfum (Patrick Suskind)
Le joueur d'échecs (Stefan Zweig)
La confusion des sentiments (Stefan Zweig)
Le gamin de la rue de la Croix (Claude Rizzo)
Le livre des Baltimore (Joël Dicker)
Les dames du mardi (Jean Siccardi)
Et Nietzsche a pleuré (Irvin Yalom)
La malédiction de la madone (Philippe Vilain)
La gloire de mon père, Le château de ma mère, Le temps des secrets, Le temps des amours (Marcel Pagnol)
La langue des choses cachées (Cécile Coulon)